Sending some Love to my Nephews & A Quick Note on Not Wanting to Have Children

Aix (36)_001(scroll down for the english version – vean al pie de página para la versión en español)

Il y a 4 jours, Augustin fêtait ses 2 ans; dans 4 jours, Cézanne fête ses 6 mois.  Parce que mon cœur déborde d’amour pour eux malgré l’océan qui nous sépare physiquement et parce que je suis une tata fantastique (non, non, ne vous inquiétez pas, je ne fais pas d’excès de zèle et comme ceci n’est que la stricte vérité, je ne ferai pas dans la fausse modestie, ni même dans la modestie tout court), je souhaite le leur démontrer à chaque instant possible. J’ai donc le bonheur de vous inviter à découvrir ces quelques jolis clichés de mes neveux chéris pris l’été dernier au moment de la naissance de Cézanne, pendant que nous étions toute la famille réunie pour l’occasion dans notre maison près d’Aix-en-Provence, France.

Chaque fois que je me retrouve avec eux ou avec mes filleuls, avec les enfants de mes cousins ou même ceux de mes amis – que je présente également comme mes neveux, pour aller plus vite et parce que c’est comme ça que nos cœurs se reconnaissent réciproquement de toutes façons – j’en ai des palpitations de joie, le sourire qui s’étire, les yeux qui pétillent et le corps prêt à donner tous les plus gros câlins du monde. Les enfants ont le don de réveiller ça chez nous tous, pas vrai? Cette envie de les couver, de les rendre heureux, de leur apprendre des choses, de partager des instants, de découvrir le monde à travers leurs yeux, de les voir éclore et devenir des gens merveilleux… Ça nous rappelle combien nous sommes ces mêmes enfants devenus grands. Et quand ils nous regardent avec leurs grands yeux et nous murmurent à l’oreille un «je t’aime, tu sais, pour toute la vie…», ils arrivent à faire fondre notre petit cœur pour leur donner tout cela de nouveau au centuple.

J’adore ces moments avec tous mes petits bouts d’chou! Merci à mes frangins, mes cousins et mes cousines, mes amis, d’avoir amené dans le monde et dans ma vie ces petits êtres de bonheur! (qui deviennent petit à petit, de grands êtres de bonheur!).

Je leur suis d’autant plus reconnaissante que je ne partage souvent avec leurs enfants que des moments heureux, agréables, plein de tendresse et de rires. Même si j’ai également droit aux larmes, aux humeurs, aux caractères qui se développent, aux prises de positions contraires, je suis plus souvent le témoin de leurs côtés tout doux. La distance à laquelle nous vivons habituellement fait que nous profitons de l’instant ensemble d’une manière décuplée et ne nous montrons les uns aux autres que sous notre meilleur jour (en fait, il faudrait qu’on fasse ça tout le temps avec tout le monde, mais au jour le jour, c’est parfois beaucoup plus compliqué).

Aux vues de mes liens étroits avec tous ces enfants, d’aucun continue de se poser la question du pourquoi je n’en ai pas encore et oublie rapidement que depuis quelques années mon envie/besoin d’en avoir personnellement s’est complètement estompée pour n’être plus qu’un lointain souvenir. En effet, même si pendant de nombreuses années je n’aurais jamais vu mon futur sans être la maman de 3 enfants – au moins! – dont je connaissais déjà les prénoms éventuels (!!), il n’en est plus du tout question aujourd’hui.

Je revendique le droit, l’envie, d’être femme sans être mère. Parce que j’ai découvert (en voyageant, en me concentrant sur mes envies et mes besoins, sur ce que je souhaite vraiment, en dehors de ce que les autres ou la société attendent de moi) qu’au plus profond de moi, je ne voulais pas avoir d’enfants. Le pendant de cette découverte a été un véritable sentiment de libération; un poids a disparu de mes épaules. Beaucoup plus heureuse avec cette décision, j’ai pu me concentrer sur comment être cette tata fantastique et une marraine exceptionnelle.

Parce que je n’ai pas besoin d’être mère pour exister, l’envie s’en est allée.

Parce que je peux concentrer mon amour sur les enfants des autres – que je renvoie chez leurs parents 😉 dès qu’on a terminé nos moments magiques ensemble –, je ne veux pas en avoir chez moi.

Parce que je me sens plus libre de mes mouvements, de mes envies de vie et de voyages en amoureux, je ne veux pas avoir d’enfants.

Parce que je trouve que notre planète est déjà assez surpeuplée, je ne souhaite pas en rajouter davantage.

Parce que c’est une décision qui m’appartient, comme elle appartient à toutes les femmes qui ont pris la même et qui se sentent parfaitement bien avec; parce qu’elle ne fait de mal à personne, c’est une décision qui se doit d’être enfin comprise et respectée par tous.

Parce qu’il faut sortir des carcans de la société qui dictent qu’une femme doit absolument être mère pour être d’une quelconque valeur, il faut arrêter de dire «et vous, quand est-ce que vous aurez des enfants?» ou «mais, sûrement, vous changerez d’avis», aux femmes qui n’en ont pas après 30 ans et/ou qui ont déjà dit plusieurs fois qu’elles n’en auraient pas (ah, et si les médecins et gynécologues pouvaient aussi nous lâcher la grappe à ce sujet, arrêter de juger et de forcer leur point de vue, ce serait encore plus merveilleux!).

Parce que toutes ces femmes sont de superbes femmes, d’abord, des compagnes magnifiques, des tatas fabuleuses et des marraines exceptionnelles, ensuite. Comme moi. 😀

Tout mon amour à mes neveux chéris pour leur mois- et anniversaire! A tous les enfants de ma vie ❤ et à toutes les femmes qui n’en veulent pas!

Vous ou une femme de votre entourage avez pris la même décision? Comment l’expliquez-vous autour de vous?

[English]

Augustin celebrated his second birthday 4 days ago; Cézanne will be celebrating his first 6 months in 4 days. Because my heart is filled with love for them despite the ocean that separates us physically and because I am a fantastic aunty (no, don’t worry, I am not exagerating and since it’s the perfect truth, I won’t hide behind any kind of modesty), I would like to show it to them at any given moment. Hence my happiness at having you discover a few lovely shots of my sweet nephews from last summer, around the time Cézanne was born and the whole family was reunited together for the occasion, in our home near Aix-en-Provence, France.

Every time I’m with them or my god-children, my cousin’s kids or even my friends’ – whom I also introduce as my nephews, because it’s simpler to explain that way and because this is how our hearts speak to one another anyway – I can feel flutters of joy, a smile growing, my eyes shining and my body expand, ready to give the world’s best and biggest hugs. Children have a way to wake those feelings up in everyone of us, don’t they? Wanting to coo over them, to make them happy, to teach them things, to share moments, to discover the world through their eyes, to see them grow and become magnificent human beings… It reminds us how much we are these very children who have grown up. And when they look at us with their eyes wide open and whisper in our ears «I love you, you know, for the rest of my life…», our little hearts melt over them and make us want to give it all back to them a hundredfold.

I love those moments with all of my little ones! Big thanks to my brothers, my cousins and my friends for having brought out to the world and in my life those tiny bundles love! (who happen to grow into big bundles of love!).

I am all the more grateful to them because the moments I spend with their children usually are very cool, full of joy, tenderness and laughter. Even though I also live through their tears, their mood swings, their developping caracters and contradictory points of view, more often than not, I’m the witness of their lovely sides. The distance that separates us on a daily basis has us appreciate the moments together more and only show our best to each other (we should really do that all the time with everyone, but it’s more complicated sometimes on a day-to-day basis).

Because of the tight relationships that I nurture with all those kids, many keep wondering why I don’t have any of my own yet and tend to forget that my wanting/needing to have kids completely vanished a few years ago, only to become an obsolete notion. It is true that for many years I would not have pictured my future without being the mother of – at least! – 3 children (for whom I had already found potential names!!); it is absolutely out of the question today.

I now claim my right, my will, to be a woman without being a mom. Because I discovered (by traveling, by focusing on what I wanted and needed, on what my heart truly desired outside of anything the society or others would have me be), that deep down inside of me, I didn’t want to have children. What happened after that realization is that I felt incredibly freer; a huge weight had lifted from my shoulders. Now happier with that decision, I could focus on being that fantastic aunty and exceptional godmother.

Because there’s no need to be a mother to exist as a woman, my wanting it has disappeared.

Because I can unload my love onto the others’ children – whom I can send back to their parents’ 😉 after we’ve spent our lovely time together –, I don’t want to have any at home with me.

Because I feel more free of my movements, of my life and travels with the man I love without having kids, I don’t want any.

Because I believe our planet is overpopulated enough, I don’t want to add another human being on it.

Because it is a decision that I own, like any other woman who has made the same one before and feels perfectly fine with it; because it doesn’t harm anyone, it is a decision that should finally be understood and respected by all.

Because we need to get out of society’s stranglehold stating that a woman is only worthwhile if she’s a mother, it would be best to stop saying «and you, when will you have children?» or «but, surely, you’ll change your mind,» to childless women over 30 and/or those who have already said they wouldn’t have any (ah, and if doctors and gynecologists could also leave us be, stop judging us or forcing their point of view upon us, that would be even more perfect!).

Because all these women are, first and foremost, stunning women; they are also great companions, fabulous aunties and exceptional godmothers. Just like me. 😀

With all my love to my nephews for their birthday and month anniversary! To all the children of my life ❤ and the women who don’t want any!

Do you or a woman close to you have also made this decision? How do you talk about it? 

[Español]

Hace 4 días, Augustin cumplió 2 años; en 4 días, Cézanne cumple 6 meses. Porque mi corazón está lleno de amor para ellos a pesar del océano que nos separa físicamente y porque soy una tía fantástica (no, no, no se preocupen, no estoy exagerando y como es la verdad pura y sencilla, tampoco voy a vestirme de modestia), se lo quiero demostrar en todos los momentos. Así que me alegra mostrarles a Uds. algunas fotos de mis sobrinos queridos que tomamos el verano pasado cuando nació Cézanne y que toda la familia estaba reunida para la ocasión, en nuestra casa cerca de Aix-en-Provence, Francia.

Cada vez que estoy con ellos o mis ahijados, con los hijos de mis primos y primas o los de mis amigos – también les llamo mis sobrinos, porque es más fácil explicarlo así y que nuestros corazones se reconocen de esta manera, de todos modos – puedo sentir olas de alegría, una sonrisa extenderse en mis labios, mis ojos brillar y mi cuerpo expanderse para darles los abrazos más fuertes del mundo. Los niños siempre evocan esos sentimientos en cada uno de nosotros, ¿no es así ? Querer apapacharles, hacerles felices, enseñarles cosas, compartir momentos, descubrir el mundo a través de sus ojos, verles crecer y volverse en seres humanos magníficos… Nos recuerda como eramos nosotros esos mismos niños que ya crecieron. Y cuando nos miran con los ojos gran abiertos, susurándonos «te amo, sabes, para toda la vida…», nuestros pequeños corazones se derriten y hacen que queramos darle todo eso de vuelta centuplicado.

Me encantan esos momentos con cada uno de mis pequeños cariños! Gracias gigante a mis hermanos, primos, primas y amigos por haber traido en el mundo y en mi vida esos pequeños pedazos de cielo (¡que están volviendose grandes pedazos de cielo, ya!).

Les estoy aún más agradecida porque muy a menudo vivo con sus hijos momentos agradables, de gran alegría, ternura y risas. A pesar de también vivir sus lágrimas, humores cambiantes, carácteres que se desarrollan y opiniones contradictorias, la mayoría del tiempo, soy testiga de sus mejores momentos. La distancia que nos separa habitualmente hace que valoramos mucho el tiempo que compartimos juntos y solo mostramos al otro nuestro mejor perfil (así debería ser todos los días con toda la gente que nos rodea, normalmente, pero es más complicado hacer de manera cotidiana).

Por esas relaciones muy tiernas que tengo con todos esos niños, muchos siguen preguntándose porqué todavía no tengo hijos propios y se olvidan de que mi deseo/necesidad de tenerlos desapareció hace varios años, para volverse una noción obsoleta. Es cierto que por muchos años, no pude imaginar mi futuro sin verme como la madre de 3 niños – ¡mínimo! – para cuales ya tenía nombres escogidos (!!); algo completamente fuera de lugar hoy en día.

Ahora, revendico el derecho de ser mujer sin ser madre. Porque descubrí (viajando, enfocándome en lo que quería y necesitaba, en lo que mi corazón verdaderamente quiere afuera de lo que la sociedad y los demás quisieran que sea), que, a lo más profundo de mi ser, no quiero tener hijos. Lo que pasó después de darme cuenta de eso, es que me sentí completamente libre; un peso se había quitado de mis hombros. Desde luego, feliz con esta decisión, pude enfocarme en ser una tía fantástica y una madrina excepcional.

Porque no hay necesidad de ser madre para ser mujer, desapareció el deseo de serlo.

Porque puedo darles todo mi amor a los hijos de los demás – devolviéndoles a sus padres 😉 cuando se acaba nuestro lindo momento juntos, no quiero tener a ninguno en mi casa.

Porque me siento más libre de mis movimientos, de mi vida y de mis viajes con mi enamorado sin tener hijos, no quiero ninguno.

Porque creo que el planeta ya está demasiado poblado, no quiero agregar a una persona más en el mundo.

Porque es mi decisión, como la de todas las mujeres que tomaron la misma antes y que se sienten perfectamente feliz con ella; porque no daña a nadie, es una decisión que por fin debería ser entendida y respetada por todos.

Porque necesitamos salir de los yugos de la sociedad que dice que una mujer solo vale la pena si se vuelve madre, hay que dejar de decir «¿y cuándo van a tener hijos?» o «pero, seguramente, se cambiará la mente» a una mujer de más de 30 años que no tiene hijos y/o que ya dijo varias veces que no los quería (ah, y si los médicos y ginecólogos pudieran dejarnos en paz al respeto, dejar de juzgarnos o intentar forzar sus opiniones sobre nosotras, ¡sería absolutamente genial!).

Porque todas esas mujeres son, antes de todo, increíbles mujeres; también son compañeras de vida fabulosas, tías fantásticas y madrinas excepcionales. Como yo. 😀

A mis sobrinos, con todo mi amor, ¡para sus cumpleaños y cumplemeses! A todos los niños de mi vida ❤ como a todas las mujeres que no quieren tenerlos!

¿Ud. u otra mujer de su círculo de amigos tomaron la misma decisión? Cómo tratan el tema con los demás?

28 commentaires sur “Sending some Love to my Nephews & A Quick Note on Not Wanting to Have Children

  1. Ici je fais partie des quelques grincheuses qui ne pétillent pas en présence d’enfants 😀 Je ne m’imagine pas mère de qui que ce soit et c’est très bien ainsi 🙂 Aucune envie viscérale, pas d’horloge biologique qui tourne. J’aurai 34 ans cette année, et les gens se font une raison. Je suis heureuse de lire une chronique de ce type, car ce n’est qu’en assumant cette envie d’autre chose que la maternité qu’on peut banaliser ce choix de vie et ne plu être vues comme des originales.

    1. 38 ans cette année et plus heureuse que jamais de ne pas vouloir d’enfants, un choix qui me correspond à 100%. Ravie que ce petit article puisse faire écho également chez toi! 😉

  2. Très bel article, c’est important de libérer la parole sur ce genre de choix, en effet on nous saoule avec ça !
    Personnellement, j’en veux, mais je respecte tout à fait ta décision, tes arguments. Effectivement nous sommes un peu surpeuplés (ce qui me fait me demander régulièrement si mon choix de donner la vie n’est pas purement égoiste finalement) et on a pas besoin d’enfants pour s’accomplir en tant qu’être humain. 🙂

    1. Il faut parfois savoir être égoïste; ce choix en particulier est certainement l’un des choix les plus égoïstes qui soient, dans un sens comme dans l’autre.
      Comme pour tout, l’important est d’accepter l’altérité et le libre-arbitre de chacun dans le respect et ce qui manque un peu dans notre monde d’aujourd’hui…
      Je te souhaite donc de faire le choix qui te correspond le plus et qui parle le plus à ton coeur. ❤💛

  3. Tu as bien raison de publier cet article et d’assumer ton choix ! Il faudrait plus de témoignages comme le tien. C’est comme ça que les mentalités évoluent, en parlant !.
    Je trouve aussi toutes ces questions horripilantes, quand on est en couple sans enfant depuis quelques années, quand on approche de la trentaine.. Qu’est ce que ça peut être énervant ! Surtout que dans le cas de certaines, c’est un choix mais pour d’autres, c’est peut-être qu’elles ne parviennent tout simplement pas à tomber enceinte… Et dans ce cas précis t’as peut-être pas envie de répéter à tout bout de champs que tu ne peux juste pas avoir d’enfant… Enfin je me perds ^^ !
    Mais je suis bien d’accord avec toi, une femme n’est pas moins une femme si elle n’est pas mère et comme tu dis il y a déjà bien assez de personnes sur terre 😉

    Vanessa

    1. Tu as tout à fait raison, Vanessa. Non seulement ces questions sont chiantes pour celles qui ont fait ce choix mais elle est d’autant plus insensible envers celles qui ne l’ont pas fait et qui en souffrent. Alors j’espère que l’une comme l’autre seront bientôt reléguées aux oubliettes et que l’on pourra parler de ce sujet librement et sans blesser personne.
      Merci d’être passée par ici et des tes mots.
      😊

  4. « Parce que je n’ai pas besoin d’être mère pour exister, l’envie s’en est allée. » Quel soulagement cela doit-il être de se remettre en question et de se découvrir dans une vérité telle. Quels enfants magnifiques, quel amour incroyable tu sembles leur porter et quel beau plaidoyer qu’on n’a pas l’occasion de lire si souvent.
    Contente de recommencer à te lire ❤

    1. Davantage une vérité à embrasser qu’un soulagement car la réalisation s’est faite naturellement, pendant ou après le voyage, alors que je n’y avais pas spécialement pensé. D’autant plus important pour moi alors la reconnaissance, compréhension et acceptation de ce nouvel état de fait même s’il est contraire à ce que j’étais avant.
      On évolue tous, on grandit, on apprend et on s’améliore avec le temps (c’est vraiment comme le bon vin alors!!!), surtout si on le décide. Et pour moi, cette décision, bien que grandement inconsciente au départ, n’est que le reflet de celle que je suis devenue et que j’embrasse pleinement.

      Ravie de te relire également!
      Que nos chemins se croisent encore!

  5. Un très beau texte auquel je souscris pleinement. J’aime bien les enfants des autres, surtout quand ils sont sympas et que ça dure pas trop longtemps. Je n’ai rien contre les enfants, mais moi, pour mille raisons qui m’appartiennent, je ne le souhaite pas. Et c’est ainsi !

    1. Je sais que nous sommes bien plus nombreuses aujourd’hui qu’autrefois à prendre cette décision, à le ressentir très fort. Ça ne nous empêche en effet aucunement d’adorer les enfants des autres. Et nous d’être celles que nous souhaitons être, dans toute notre splendeur.
      A voyager alors! 😉 car ce sont eux nos « bébés! »

  6. ❤️❤️💕 j’adore tes photos, je t’aime telle que tu es , et je sais que tu partages, partageras, de merveilleux moments avec ces enfants qui font partie de ta vie !!!!! (Quelque soient leurs humeurs 😉) tu fais partie aussi de leur éducation .
    Plein de bisous à une tata fantastique

  7. It’s good that you know what you want and can have it! 🙂 You are so right to stick to what you feel. I never thought I’d have children, I was just traveling around and drifting. Then suddenly I just changed my mind and I knew my life would change completely. I’m very happy with the new dimensions and depth my life now has, but I can still remember those thoughts from before, and understand you completely! Luckily Finland is quite progressive in women’s rights and also not a very family-centered culture, so no one really bothers you about it here. I have many, many friends over 30 without kids! Some of them want kids, some don’t know if they do, and some don’t. Though I remember at many workplaces I was always the last one who got to pick vacation times because everyone else had kids and it seemed so unfair. Society does have a way of putting everyone into neat little boxes. Sounds like you’ve broken away from it so well on your paradise beach! 🙂

    1. Being able to pick your vacation last because you don’t have kids really is bothersome! Everywhere! Until you realize everyone who does, has to take theirs when prices are at their highest and you get to go when they’re lower! 😉
      I’m happy to know the plce you call home is more progressive on the subject and that people don’t mind that much; in France and most of all in Mexico, the idea is still looked upon as the rarest and weirdest a woman can have! 🤔🤔
      Happy me to have discovered my feeling on the subject before I moved over there 😉

      1. Yes, happy you did! 🙂 (I think it’s because Finland is mostly an atheist country – even people who call themselves Christians actually never go to the church or practice their religion. Catholic countries are very family-centered in my experience. But there’s also a lovely, warm feeling in family-centered cultures and sometimes I wonder how lovely that would be – we don’t have contact with relatives and no big families here!) 😀

        1. Love that attitude! I miss that over here. No one is willing to meet anyone new. They are friends with whoever they met as 3-year-olds and that’s it. 😀 Okay, I’m going to stop filling up your comment section now! Ciao, adios and á plus!

        1. Wow!!!! Isn’t that a little too many?!?! I like celebrating Christmas with family but 100 persons??!! I don’t think I’d be able to manage! 😂😂😂

  8. J’adore ma Jul’!
    Merci de partager ça avec nous. Et aussi de nous expliquer pourquoi tu veux vivre ainsi, pour arrêter que tout le monde te le demande, c’est pas plus mal.
    Je comprends ce que tu ressens, sauf que pour ma part, j’en ai très envie, malgré les années qui passent. Mais peut être que je resterai sans enfants et peut être même sans moitié! Mais on s’y fait après tout.
    Tes neveux sont à croquer.
    Embrasses les bien de ma part.
    Gros bisous

    1. Mes neveux sont à croquer et je ne fais que ça quand je les vois!
      J’espère que tu trouveras également la sérénité dans tes décisions et dans ce que la vie t’apporte; c’est peut-être le jour où tu seras en paix avec elles que ce que tu attendais le plus arrivera! On ne sait jamais ce que la vie nous réserve de beau!
      L’important pour toi comme pour moi, c’est d’être au clair avec ses envies et heureuses de nos choix de vie.
      Je te souhaite tout plein de bonheur, seule d’abord, pour le partager encore plus merveilleusement à plusieurs ensuite! A très bientôt ma copine! 😘😘😘

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