Randonner au Pays basque : de Biarritz à San Sebastián sur le Camino Norte

(scroll down for the english version – vean al pie de página para la versión en español)

Début avril 2023

Il est grand temps de sortir de ma léthargie hivernale annuelle, de lacer de nouveau mes chaussures de randonnée et de retourner sur les sentiers. Grâce aux nombreuses idées trouvées sur le site de Chilowe, dont cet article, j’ai trouvé la randonnée qui allierait mon besoin de grand air, mon envie d’évasion et de découvertes en France, pas trop loin de là où je devais aller travailler. C’est ainsi que je me suis effondrée de fatigue, après une journée de grève nationale, des transports hachés entre annulation, panne et remplacements, sur mon lit de dortoir au Surf Hostel Biarritz. Au moment de m’endormir, il est 1h du matin vendredi 7 avril, je suis à Biarritz donc et j’ai prévu de marcher 3 jours jusqu’à San Sebastián, en Espagne, en suivant le sentier du littoral, et en bivouaquant si possible.

Mais tout ne s’est pas passé comme prévu.

Au moment de partir de l’auberge après une courte mais bonne nuit de sommeil et un petit-déjeuner gargantuesque (qui m’a rappelé avec nostalgie ceux que l’on offrait chez erratic rock en Patagonie), j’apprends d’abord que de nombreuses sections du sentier du littoral sont fermées pour cause d’éboulements : je vais devoir m’adapter. Puis, je réalise que mon Camel Back fuit ! Je n’ai rien pour le réparer pour l’instant et avec 1,5 L. d’eau en moins, je me sens tout de suite moins sereine pour le bivouac du soir. Mode recherche de camping ou auberge activé, je verrai en arrivant à Saint-Jean-de-Luz après mes 20 kms du jour.

Ceux-ci sont absolument superbes : plages, falaises, rochers, criques, vagues, océan, marées, panoramas à perte de vue, largement de quoi m’arrêter toutes les 2 minutes pour un nouveau cliché et avoir les yeux qui brillent toute la journée. Le sentier est très bien balisé – les détours dus aux sections fermées également -, les montées et descentes sont assez faciles puisqu’on n’est jamais au-dessus de 80 m. d’altitude par ici ; j’apprécie particulièrement le moment où j’enlève mes chaussures pour traverser un passage d’eau sur de la plage de l’Uhabia au sud de Bidart, les maisons colorées de Guéthary et la vue d’ensemble sur Saint-Jean-de-Luz depuis la Pointe de la Sainte-Barbe. Tous les campings déjà ouverts se situent quelques kilomètres avant d’arriver à Saint-Jean-de-Luz, ce que je ne trouve pas pratique pour la suite de ma randonnée. Par contre, cela fait déjà un moment que j’ai remarqué les panneaux indiquant que le sentier en est également un qui rejoint le Camino Norte vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Je décide donc de redevenir pèlerine le temps de ma randonnée et je me dirige vers l’auberge des pèlerins du centre-ville, où je passe une bonne nuit de sommeil après l’apéro sur la plage devant le soleil couchant.

Crédentiale en poche (carnet à faire tamponner à chaque étape du Chemin jusqu’à Compostelle pour prouver les kilomètres parcourus), je pars pour mon 2ème jour de randonnée directement sur la Via Bayona – partie française du Camino Norte – puisque le sentier du littoral est complètement fermé entre Sain-Jean-de-Luz et Hendaye. Je croise d’autres pèlerin.e.s, moins chargé.e.s que moi (je suis partie dans l’optique du bivouac, je transporte donc ma tente, mon matelas et sac de couchage ainsi que de la nourriture pour 3 jours en autonomie alors que je ne vais pas du tout me débrouiller comme ça finalement) ; on se passe et se dépasse mutuellement. À un moment, je me rends compte que je les suis plutôt que des suivre les panneaux et c’est là qu’on réalise toustes que nous ne sommes plus sur le Chemin ! Je reprends le contrôle de mes pas et de mes pensées, choisis un autre sentier et arrive finalement sur la plage des Deux-Jumeaux d’Hendaye après seulement quelques kilomètres de détour. Il est tôt, je déjeune avec une amie retrouvée à la dernière minute, je passe le début d’après-midi les pieds dans l’eau à admirer le sommet de Jaizkibel, dont l’ascension est prévue demain en chemin vers San Sebastián, avant de continuer sur les 7 derniers kilomètres jusqu’à l’auberge de pèlerins à Irun, côté espagnol. Les paysages du jour étaient beaucoup plus bucoliques, au milieu des champs avec vue sur la montagne de la Rhune.

J’entame mon 3ème (et dernier) jour de marche en compagnie de Felip, professeur et linguiste catalan rencontré à l’auberge qui part pour 6 jours à pied jusqu’à Bilbao. Difficile de croire qu’on est que début avril avec la chaleur des derniers jours ; pas d’exception aujourd’hui. L’ascension du Mont Jaizkibel se fait dans la sueur mais les paysages, montagne d’un côté, océan de l’autre, sont toujours aussi époustouflants. J’apprécie la compagnie discrète et agréable de Felip jusqu’à ce qu’il prenne son propre rythme et que je découvre le reste du chemin au mien. Les kilomètres sont un peu rudes dans la descente vers Pasaia, où il faut prendre un petit traversier pendant à peine une minute pour continuer le chemin de l’autre côté du bras de mer. Une autre longue montée à travers les bosquets et c’est enfin l’arrivée à San Sebastián ; j’ai eu du mal aujourd’hui, mes chaussures me blessent et j’ai trop chaud. Je suis ravie de me détendre au Surfing Etxea hostel où j’ai réservé pour la nuit, avant d’aller découvrir la ville dont on m’a tant parlé. L’architecture y est très carrée, on y surfe facilement sur la grande plage principale et on y déguste les premiers pintxos de l’autre côté de la frontière : ce sont des petites tartines surmontées de divers ingrédients agrémentés de saveurs locales et originales. Accompagnés d’un verre de Txakoli, vin blanc basque, c’est le repas typique à essayer absolument ici, en faisant la tournée des bars qui les proposent !

Récapitulatif :

  • Biarritz > Saint-Jean-de-Luz : 20 kms, +332 m. -381 m. ; altitude max : 76 m.
  • Saint-Jean-de-Luz > Hendaye > Irun : 23 kms, +306 m. -310 m. ; altitude max : 99 m.
  • Irun > San Sebastián : 23 kms, +866 m. – 856 m. ; altitude max : 530 m.

Il m’a suffit de trois jours de randonnée de l’autre côté de la France, où la plupart des gens parlent déjà espagnol pour avoir l’impression d’un grand dépaysement, nécessaire et agréable. J’ai enchaîné sur 2 jours de boulot à Bordeaux, la tête encore dans les vagues basques.

Par contre, c’est malin : j’ai commencé à marcher sur le Camino Norte. Et dans ma tête, cette idée-là ne s’arrête pas après 3 jours quand il y en a une trentaine supplémentaires à parcourir pour atteindre Saint-Jacques-de-Compostelle puis Fisterra, au bout du chemin…

Vous avez entamé vos randonnées de printemps ?

[English]

Early April 2023.

It is about time to come out of my yearly winter hibernation, tie the laces of my hiking shoes again and go back on trail. Thanks to many ideas spread out on Chilowe’s blog, and this article in particular, I was able to find the hiking trail that would bring together my need of fresh air, my curiosity for discovering new places and get away from home locally in France, near the place I was expected for work a few days later. That’s how I stumbled on a dorm bed in Surf Hostel Biarritz, after a long day of national strikes, commute being canceled, broke down and replaced. By the time I fall asleep, it is 1:00 a.m. on Friday, April 7th, I’m in Biarritz and I have plans of hiking for 3 days to San Sebastián, on the other side of the border, in the Spanish Basque country, following the coastal trail, and wild camping if possible.

But, evertyhing did not go according to plan.

By the time I’m ready to leave the hostel after a short but good night’s sleep and a gargantuan breakfast (that reminded me of the ones we used to give at erratic rock in Patagonia), I first learn that various sections of the coastal trail are closed off for rock slide risks : I’m going to need to adapt. Then, I realize that my Camel Back leaks ! With nothing to repear it now, I’m left with 1.5 L. less of water and that immediately makes me less serene for wild camping tonight. I’ll be on the look-out for campgrounds or hostels when I arrive in Saint-Jean-de-Luz later today, after the first 12 miles of this adventure.

These are especially magnificent : beaches, cliffs, rocks, coves, waves, ocean, tides and panoramic views as far as the eye can see, more than enough for me to stop every 2 minutes to take a picture and for my eyes to shine all day. The trail is very well-marked – detours as well -, the way up and down is quite easy since we’re never above 262 ft. high here ; I particularly enjoy the moment when I can take my shoes off to cross a short waterway on Uhabia beach, south of Bidart, the colorful houses in Guéthary and the full view upon Saint-Jean-de-Luz from Pointe de la Sainte-Barbe. All open campgrounds are located before arriving in town, which I don’t find inviting for the rest of my hike. However, I have noticed specific trail marks indicating that this trail is one leading up to the Camino Norte to Santiago de Compostela. I decide to become a pilgrim again for the time being and head out to the pilgrims’ hostel downtown, where I spend a very good night after eating something on the beach watching the sun set.

Credential in my pocket (small book in which to collect stamps on one’s way to Santiago de Compostela, to prove how many miles one walked), I leave on my second day of hiking following directly the Via Bayona – French section of the Camino Norte – since the coastal trail is completely closed off between Saint-Jean-de-Luz and Hendaye. I cross paths with other pilgrims, more lightly-packed than me (since I had planned wild camping, I’m carrying my own tent, sleeping pad and bag, as well as 3-days worth of food when I’m obviously not going to use as much anymore) ; we pass each other many times. At one point, I realize I’m mechanically following them instead of the trail marks and of course, there comes a time when we are not on trail anymore ! I take control of my steps and thoughts back, choose another path and arrive on Deux Jumeaux beach in Hendaye after only a mile or 2 away from the original trail. It is early in the day, I have lunch with a friend I called at the last-minute, I spend most of the afternoon feet in the water admiring Mt Jaizkibel, which I will summit tomorrow on my way to San Sebastián, before I continue on the last 4 miles of the day towards the pilgrims’ hostel in Irun, on the Spanish side. Landscapes today were more quaint, in the middle of the countryside, with view upon the Rhune Mountain.

I start the 3rd (and last) day of my hike in the compagny of Felip, a Catalan teacher and linguist I met at the hostel who’s leaving on a 6-day hike to Bilbao. It’s hard to believe it’s only early April with the temperatures we’re facing : it’s been very hot for the past few days and today is no exception. I summit Mt Jaizkibel sweating but the views on both sides, mountains on the left, ocean on the right, are absolutely stunning. I enjoy Felip’s discreet and interesting compagny until he leaves on his own pace and I discover the trail at mine. Miles are a little harder under the sun on the way down to Pasaia, where I need to hop on a very short ferryboat ride to keep walking on the trail on the other side of Pasaia river. One more hike up the hill across the forest and I arrive atop San Sebastián ; it was a little harder for me today, with the heat, and my shoes hurt me more than usual. I’m happy to chill out at Surfing Etxea hostel where I had booked for the night, before exploring the city I was told so much about. Its architecture is very square, it’s very easy to surf on its main beach and it is famous for the first pintxos we can devour on this side of the border : these are small toasts topped with different ingredients of local and original flavors. Eaten with a glass of Txakoli, a Basque white wine, they are the most typical dinner to enjoy here, bar-hopping between the different places offering them !

Summary :

  • Biarritz > Saint-Jean-de-Luz : 12.4 miles, +1.089 ft. -1.250 ft. ; altitude max : 249 ft.
  • Saint-Jean-de-Luz > Hendaye > Irun : 14.3 miles, +1.003 ft. -1.017 ft. ; altitude max : 324 ft.
  • Irun > San Sebastián : 14.3 miles, +2.841 ft. – 2.808 ft. ; altitude max : 1.738 ft.

It only took a 3-day hike on the other side of France, where most people already speak Spanish, to enjoy a complete change of scenery, which I greatly needed. I headed back to work in Bordeaux for 2 days, my head filled with the sound of the waves of the Basque country.

The thing is, now, I have started walking on the Camino Norte. And this idea in my head doesn’t stop after 3 days when I know there are another +30 to walk all the way to Santiago de Compostela and Fisterra, on the other end of the trail…

Are you also hiking your first spring trails ?

[Español]

Inicio de abril 2023.

Ya es más que hora que salga de mi hibernación anual, ate mi zapatos de caminata de nuevo y vuelva en los senderos. Gracias a varias ideas vistas en la página web de Chilowe, y este artículo en particular (en francés), encontré la caminata que mejor uniría mi necesidad de aire fresco, mi curiosidad para descubrir nuevos lugares y escaparme en Francia, cerca de dónde me esperaban para el trabajo unos días más tarde. Así me caí de cansansio, luego de un día largo de huelgas nacionales, transportes públicos cancelados, averías y reemplazos, en una cama de dormitorio en el Surf Hostel Biarritz. Al momento de dormir, es la 1:00 a.m. el viernes 7 de abril, estoy en Biarritz y tengo planes para caminar 3 días hasta San Sebastián, España, siguiendo el sendero costal, y haciendo vivaque en cuanto se pueda…

Pero, no todo pasó como previsto.

A punto de salir del albergue después de una corta pero buena noche de sueño y un desayuno gigantesco (que me recordó los que preparamos en erratic rock en Patagonia), primero me avisan que varias secciones del sendero costal están cerradas por peligro de deslizamiento : tendré que adaptarme. Luego, me doy cuenta de que ¡ mi Camel Back tiene una fuga ! No tengo nada para repararlo ahora y con 1.5 L. de agua menos, de repente no me siento traquila para el vivaque de la noche. Tendré que buscar campamento o albergue al llegar en Saint-Jean-de-Luz luego de los 20 kms de hoy.

Aquellos son absolutamente hermosos : playas, acantilados, rocas, bahías, olas, océano, mareas, panoramas hasta donde alcanza la vista, tanto para que pare cada 2 minutos a sacar fotos y tener los ojos brillantes todo el día. El sendero es bien marcado – también los desvíos -, las subidas y bajadas son bastante faciles por nunca estar a más de 80 m. de altura ; me encanta quitarme los zapatos para cruzar un brazo de agua en la playa Uhabia al sur de Bidart, las casas coloradas de Guéthary y la vista a Saint-Jean-de-Luz desde la Punta de Sainte-Barbe. Todos los campamentos abiertos se ubican antes de llegar a la ciudad, lo que no me atrae para la continuación de la caminata. Pese a eso, hace un momento ya que estoy viendo marcas indicando que este sendero se reune con el Camino Norte, hacia Santiago de Compostela. Elijo volver a ser peregrina durante el tiempo que dura mi caminata y me dirijo hacia el abergue de peregrinos en el centro, dónde paso una excelente noche después de una cenita en la playa admirando el atardecer.

Credencial en el bolsillo (libreta a sellar en cada etapa del Camino hasta Santiago de Compostela, como prueba de los kilómetros recorridos), salgo de caminata por el 2ndo día, directamente en la Via Bayona – parte francesa del Camino Norte – porque está completamente cerrado el sendero costal entre Saint-Jean-de-Luz y Hendaya. Cruzo camino con otro.a.s peregrino.a.s, mucho menos cargado.a.s que yo (salí con la idea de hacer vivaque así que ando cargada de mi carpa, saco para dormir y colchoneta, y además con 3 días de comida, pero no voy a usar todo eso ahora que cambie de planes) ; nos doblamos varias veces mutualmente. En algun momento, me doy cuenta de que no sigo más las marcas del sendero sino a ello.a.s y que por cierto, ¡ ya no estamos en el sendero correcto ! Vuelvo a concentrarme en mis propios pasos y pensamientos, cambio de dirección y llego en la gran playa de los Dos Gemelos de Hendaya, con unos pocos kilómetros más de desvío. Todavía es temprano, almuerzo con una amiga que llame de último minuto, paso el inicio de la tarde los pies en el agua, admirando al Pico Jaizkibel que subire mañana yendo a San Sebastián, antes de seguir con los últimos 4 kms hasta el albergue de peregrinos en Irun, del lado español. Los paisajes de hoy fueron mucho más bucólicos, pasando por campos con vista a la montaña de la Rhune.

Empiezo mi 3er (y último) día de caminata en compañía de Felip, un profesor y filólogo catalán encontrado en el albergue que va a recorrer el camino por 6 días hasta Bilbao. Es difícil creer que solamente es inicio de abril ahora cuando hace tanto calor : hoy no es excepción. Subo hasta la cumbre del Monte Jaizkibel sudando, pero los paisajes siguen magníficos, con las montañas a la izquierda y el océano a la derecha. Disfruto de la compañía discreta e interesante de Felip hasta que siga su propio ritmo y que descubre yo el sendero al mio. Los kilómetros son un poco más duros en la bajada hacia Pasaia, donde se debe subir en un tasbordador por muy poco tiempo, cruzar la embocadura del río Pasaia y seguir caminando del otro lado. Una larga subida más, a través del bosque, y ya llego por encima de San Sebastián ; fue un poco complicado para mi hoy, mis zapatos me lastiman y hace mucho calor. Estoy feliz de descansar en el Surfing Etxea hostel donde hize una reserva para la noche, antes de ir a explorar la ciudad de la cual tanto me hablaron. La arquitectura es my cuadrada, se puede ir a surfear desde su playa principal y se comen los primeros pintxos de este lado de la frontera : son pequeños trozos de pan cubiertos de varios ingredientes con sabores locales y originales. Con un vaso de Txakoli, un vino blanco vasco, es una cena típica que hay que probar absolutamente acá, ¡ yendo de bar en bar en donde se proponen !

Recapitulación :

  • Biarritz > Saint-Jean-de-Luz : 20 kms, +332 m. -381 m. ; altitud max : 76 m.
  • Saint-Jean-de-Luz > Hendaye > Irun : 23 kms, +306 m. -310 m. ; altitud max : 99 m.
  • Irun > San Sebastián : 23 kms, +866 m. – 856 m. ; altitud max : 530 m.

Bastó con solo 3 días de caminata del otro lado de Francia, dónde ya se habla más español que francés, para tener la impresión de un gran cambio de aire, necesario y muy agradable. Luego, fui a trabajar en Burdeos por 2 días, la cabeza llena del sonido de las olas del país vasco.

Sin embargo, ahora es eso : empeze a caminar el Camino Norte. Y en mi mente, esta idea no tarda solamente 3 días cuando sé que son unos 30 más a recorrer para llegar a Santiago de Compostela y Fisterra, al otro lado del camino…

¿ Ya empezaron sus caminatas de primavera ?

4 commentaires sur “Randonner au Pays basque : de Biarritz à San Sebastián sur le Camino Norte

  1. Les chemins de saint Jacques sont si beaux et puissants. Merci pour le partage de cette magnifique expérience. J’adore te lire.

Parlons-en!

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